Le 28 avril a été désigné par l'Organisation internationale du travail (OIT) comme
la Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail (
World Day for Safety and Health at Work). Cette journée internationale est consacrée à la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles.
Cette année, le thème est
anticiper, se préparer et répondre aux crises et cette journée souligne l'importance d'investir dans des systèmes de sécurité et de santé au travail résilients. La crise du COVID-19 en a clairement démontré la nécessité.
Un moment idéal pour Constructiv et ses partenaires du secteur de la construction pour mettre une nouvelle fois en avant les actions du secteur de la construction, avec notamment le
protocole sectoriel, le
Point de contact Corona Construction et les publications multilingues (
affiches & toolboxes).
Mais réagir à une crise ne suffit pas : anticiper et développer correctement une politique de prévention dynamique avec les structures appropriées de l'entreprise est crucial pour quiconque veut miser sur la prévention. C'est pourquoi nous souhaitons également attirer votre attention sur le
dossier 128 Structures de prévention dans le secteur de la construction et le
dossier 149 Bien-être au travail - Guide pour les entreprises de construction, récemment mis à jour.
Cependant, la bonne gestion des situations de crise passe par une communication claire. C'est pourquoi cette journée est aussi l'occasion pour Constructiv de lancer une nouvelle publication : le
dossier 118 Le bien-être dans la construction - Conseils, qui présente les principaux risques pour la santé et la sécurité sur les chantiers. Cette publication est très visuelle, complétée par de courts fragments de texte, déjà disponible
en néerlandais,
allemand,
anglais, polonais et portugais. Six autres langues (espagnol, roumain, bulgare, turc, italien et arabe) suivront bientôt.
En conclusion, les partenaires sociaux du secteur de la construction souhaitent profiter de cette journée pour envoyer
un signal uni au travers d’une déclaration commune dans laquelle ils préconisent des lieux de travail sûrs et sains et invitent l’OIT à considérer des conditions de travail hygiéniques et sûres comme un droit fondamental.